Bonheur...
Tu es la quête de tout être pensant, la lumière de toute existence...
Je suis née pour te retrouver, je t'ai longtemps cherché, où étais-tu ?
En levant les yeux au ciel, j'ai cru t'apercevoir, mais ta luminescence
Disparaissait derrière de gros nuages, longtemps; tu m'as déçue...
Alors j'ai décidé d'être l’artisane de tes merveilles, de ne plus attendre,
De ne pas t'attendre, et puis j'ai trouvé les armes pour vaincre le sort
Et je t'ai reconnu, j'ai entendu ton appel pour renaître de mes cendres...
Ta richesse était en moi, et tes bienfaits ne demandaient qu'à éclore...
Tout autour de moi, j'ai découvert ceux qui ne t'avaient pas croisé.
Toi le maître absolu, l'empereur des joyaux impalpables du cœur...
Je les ai regardé et n'ai vu qu'avidité, ils ne pensaient qu'à posséder,
Alors que tu étais là, en toutes choses et t'offrais en toute simplicité.
Dans le chant d'un oiseau venu les saluer sur le toit de leur demeure,
Dans les yeux écarquillés de leurs enfants contemplant nôtre monde...
Aux sources jaillissantes du savoir, tu déversais ta coupe, prometteur,
Alors pour eux, j'ai bu jusqu'à l'ivresse le vin de tes veines profondes...
Tu étais là... Dans le chant des rivières serpentant parmi les vallons,
Dans le souffle du vent caressant les champs de fleurs au Printemps,
Dans leurs parfums suaves et délicats...Sur les feuilles j'écris ton nom
Et sur les nuages, Ô BONHEUR, je t'aperçois danser au firmament...
Tu es la quête de tout être pensant, la lumière de toute existence...
Je suis née pour te retrouver, je t'ai longtemps cherché, où étais-tu ?
En levant les yeux au ciel, j'ai cru t'apercevoir, mais ta luminescence
Disparaissait derrière de gros nuages, longtemps; tu m'as déçue...
Alors j'ai décidé d'être l’artisane de tes merveilles, de ne plus attendre,
De ne pas t'attendre, et puis j'ai trouvé les armes pour vaincre le sort
Et je t'ai reconnu, j'ai entendu ton appel pour renaître de mes cendres...
Ta richesse était en moi, et tes bienfaits ne demandaient qu'à éclore...
Tout autour de moi, j'ai découvert ceux qui ne t'avaient pas croisé.
Toi le maître absolu, l'empereur des joyaux impalpables du cœur...
Je les ai regardé et n'ai vu qu'avidité, ils ne pensaient qu'à posséder,
Alors que tu étais là, en toutes choses et t'offrais en toute simplicité.
Dans le chant d'un oiseau venu les saluer sur le toit de leur demeure,
Dans les yeux écarquillés de leurs enfants contemplant nôtre monde...
Aux sources jaillissantes du savoir, tu déversais ta coupe, prometteur,
Alors pour eux, j'ai bu jusqu'à l'ivresse le vin de tes veines profondes...
Tu étais là... Dans le chant des rivières serpentant parmi les vallons,
Dans le souffle du vent caressant les champs de fleurs au Printemps,
Dans leurs parfums suaves et délicats...Sur les feuilles j'écris ton nom
Et sur les nuages, Ô BONHEUR, je t'aperçois danser au firmament...
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